- écriture-lecture Cuissart 1 : sur l'ardoise : révision du tracé des lettres que nous connaissons.
- Révision: nous relisons en chœur toutes les leçons depuis la leçon "p" de pipe.
- Puis nous révisons le tracé des syllabes contenant "l" ainsi que les enchaînements des lettres entre elles. La maîtresse rappelle que pour écrire, il est nécessaire de toujours prononcer ce que l'on est entrain d'écrire afin de faire correspondre ce que notre oreille entend avec ce qu'on est entrain d'écrire.
- Exemple: Je vois "lu" que je lis "lu", j'écris la lettre qui correspond au premier son en la prononçant "llll... puis j'écris la lettre qui correspond au second son en le prononçant "uuu...". Ce travail permet de faciliter la mémorisation de la correspondance entre les lettres et les sons qu'elles produisent. En s'habituant dès maintenant à cet exercice avec les "sons simples", cela deviendra tellement "naturel", que lorsqu'on apprendra les "sons complexes", nous pourrons concentrer toute notre attention sur eux, car le reste sera devenu automatique.
- dictée: syllabes connues composées de 2 ou 3 lettres. Les élèves relisent ensuite à voix hautes ce qu'ils ont écrit.
Première série: les lettres que nous connaissont,
puis les syllabes la, lu, lo, le, li, ma, mi, mu, mo, me, mé, pa, pi, pu, po
Deuxième série: ra, ri, ré, ru, ro, ir, ar, ur, or, il, al, ol, ul
Troisième série: pir, pur, par, pil, pul, pal
Chaque série de syllabes est ensuite lue par tous les élèves.
- arithmétique : Fichier Dupré p. 17: introduction du partage en 2, 3, 4: la moitié, le tiers, le quart. Partage en 2, en 3, en 4 d'un paquet de 12 bûchettes, nous continuons à utiliser la notion de "nombres de fois": Quand je partage 12 bûchettes entre 2 élèves, chacun en a 6. Avec 12 bûchettes, je peux faire 2 paquets de 6 bûchettes, je vois 2 fois 6 bûchettes.(voir le guide du maître)
- Bertin: manipulation avec 6 bûchettes (décomposition: 5+1; 4+2; 3+3; 2+4; 1+5; résolutions de problèmes: la maîtresse énonce un problème, les élèves écrivent le calcul qui permet de trouver la réponse.
- Exemple: la fermière à 5 canards, elle en vend 2, combien lui en reste-t-elle? On commence par se poser la question: Je cherche un nombre de quoi? Je cherche un nombre de canards. Puis ensuite, on se demande combien il y a en a au début de l'histoire (on écrit 5), est-ce qu'on en a plus ou moins à la fin de l'histoire (elle en a moins car elle en vend, on écrit le signe "-"). Combien en a-t-elle vendu (elle en a vendu 2, on écrit "2", puis le signe "=", car on cherche maintenant le résultat). On peut maintenant répondre à la question: 5-2= 3 canards. Il luis reste 3 canards.
- lecture Delile : Révision des pages "ou" et "n" puis lecture collective des pages "ch", et "un, est". explication du vocabulaire. 1/4 de la classe en lecture individuelle.
- cahier de classe : date courte à 3 carreaus, 3 lignes, l, li, lire, 2 lignes de chiffres: 4 et 5. Pour la première fois, nous écrivons 5 calculs (issus du Bertin).
- vocabulaire : Hermès, épisode 24
Au cours duquel un mystérieux artiste entre au palais
L'artiste capable de créer les plus splendides bijoux en or de tout l'univers vient d'entrer sur l'Olympe. C'est Héphaïstos.
Héphaïstos et Thétys ont organisé le retour du fils d'Héra parmi les dieux de l'Olympe. Ils ont utilisé la vanité et la jalousie d'Héra.
Nous retrouvons les mots du vocabulaire de la beauté: Splendide, sublime, merveilleux, extraordinaire, magnifique.
Avec le mot vaguelette, désignant de petites vagues, nous observons que les mots se terminant par "-ette" (suffixe, sans insister), désignent de petites choses. Les élèves énumèrent des choses, qu'ils connaissent: tablette, poulette, roulette, boulette, vachette, bouclette, patinette, fleurette, devinette, fillette, .
A ce moment là, un élève dit, et pour "garçon", on dit comment? Quand les mots sont masculins (sans insiter), comme garçon, pour dire qu'il est petit, on dira un "garçonnet"....- un diadème, est une couronne qui ressemble à un serre-tête, orné de pierres précieuses, finement ouvragé.
Vulcain. Marbre, pièce de réception à l'Académie royale (Louvre), Guillaume Coustou 1742.
On observe que dans les peintures et les scuptues, Héphaïstos n'est pas représenté si laid qu'on le dit dans l'histoire.
- grammaire : La leçon "un, est" du Delile, permet de rappeler ce que représente ce mot "est", c'est le verbe être au présent à la troisième personne, que nous avons déjà rencontré en conjugaison. Ce mot est un peu particulier , car on entend pas du tout ce que l'on voit. Mais cela s'explique aisément, quand on sait que "e" devant deux consonnes se prononce "è", sans qu'il y ait besoin de mettre l'accent. Ce qui est particulier ici, c'est qu'en plus, les deux consonnes "s" et "t" sont ici muettes. La maîtresse écrit 2 mots au tableau: "peste" et "reste". Nous constatons que "e" est suivi de deux consonnes (s et t), donc "e" doit se lire "è", bien qu'il n'y ait pas d'accent. Pour "un" il s'agit à la fois une syllabe, mais aussi d'un mot (d'une seule syllabe). Comme mot, il fait partie de la catégorie des articles. Il nous renseigne sur le genre des noms qu'il accompagne (ils sont masculins) et sur leur nombre (singulier).
- dessin : frises sur le cahier du jour
- mémoire : les 7 jours de la semaine, les 12 mois de l'année, les 4 saisons. Le verbe ÊTRE et AVOIR au présent.
- Initiation à l'Histoire de France : La ligne du temps (suite) page 4, sainte Geneviève rassure les Parisiens.
- récitation : révision de notre 5ème poésie:
L'ÉCUREUIL ET LA FEUILLE
L’écureuil et la feuille
Un écureuil, sur la bruyère,
Se lave avec de la lumière.
Une feuille morte descend,
Doucement portée par le vent.
Et le vent balance la feuille
Juste au-dessus de l’écureuil ;
Le vent attend, pour la poser
Légèrement sur la bruyère,
Que l’écureuil soit remonté
Sur le chêne de la clairière
Où il aime à se balancer
Comme une feuille de lumière.Maurice CARÊME (1899-1978)
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TRAVAIL en FAMILLE (MAXIMUM 10 minutes)
Pour mardi 18 octobre 2011- lecture Delile : revoir la page en cours
- Cuissart : revoir la leçon 14. Copier puis lire les mots de la leçon.