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samedi 24 septembre 2011

SEMAINE 3 / vendredi 23 septembre 2011 (12-128)

  • écriture-lecture Cuissart 1 : sur l'ardoise : révision du tracé des lettres que nous connaissons: i, n, u, m, o, r, a. Découverte de la huitième leçon "p" de piPE.
 Nous retravaillons l'enchaînement des lettres "o" et "r" pour écrire la syllabe "or". 

  • arithmétique : Problèmes oraux résolus avec l'aide du boulier, de l'utilisation des doigts.
  • lecture Delile : révision des page 13, 14. Lecture individuelle de la page 14. Découverte de la leçon "j" de jardin p15.  Cette page sera lue individuellement la fois suivante. Une fois passée la page 16 "l de lapin", chaque élève progressera à son propre rythme sur Delile (avec validation quotidienne de la maîtresse par une lecture à voix haute).
  • vocabulaire : Hermès, épisode12
  • Nous découvrons 3 nouveaux dieux de l'Olympe: Hélios qui conduit le char transportant le soleil dans un char flamboyant, Séléné, sa soeur, qui conduit le char argenté transportant la Lune. Et la dernière: Aurore au doigt de rose qui sort juste avant que ne rentre la Lune et s'envole le Soleil, c'est à dire au moment de l'aube. 
  • Le mot "immense" nous amène à chercher différentes manières de dire "grand": géant, gigantesque, énorme, colossal... Nous aurons l'occasion de les utiliser régulièrement.
  • De même le mot "splendide", nous permet de chercher plusieurs manières de dire que quelque chose est beau: joli, très joli, magnifique. La maîtresse ajoute: sublime et somptueux pour exprimer que quelque chose est bien plus que "magnifique".
  • Enfin, les mots comme "flamboyant", "étincelant", "lumineux", "éblouissant" que nous entendons au cours de ce chapitre nous montre qu'il existe beaucoup de manière de dire que quelque chose envoie de la lumière.

  •  grammaire : révision des notions de nom (rangé dans un hexagone) et de verbe (rangé dans un rectangle couché). Découverte d'une 3ème catégorie: les articles, qui sont les petits mots qui accompagnent les noms. Nous connaissons "le, la, un, une". Nous les rangerons dans un cercle, qui sera lui-même à l'intérieur de l'hexagone du nom, puisque l'article accompagne le nom. Nous en découvrirons d'autres au fur et à mesure de nos leçons. Même exercice que les jours précédents: dire quel mot est le verbe, quel mot est le nom. La maîtresse dessine au tableau un exemple: la maman écrit.

  •  dessin : frises puis dessin pour illustrer la poésie "L'Automne" de Victor Hugo: nous nous sommes inspirés d'un très joli dessin fait par une de nos élèves aidée de sa maman. Merci! C'est ainsi que nous voyons qu'il est possible de mélanger plusieurs couleurs et que la nature, en effet nous montre bien qu'un tronc n'est pas "complètement marron".

  •  leçon de chose:  : un élève a rapporté une coccinelle de la cour. C'est l'occasion de l'observer et de la dessiner sur notre cahier de croquis et d'observation: c'est un insecte. Elle possède 6 pâtes et des ailes. La coccinelle adulte pond des oeufs d'où sortent des larves. Celles-ci, très voraces, mangent une très grande quantité de pucerons. Les larves grandissent très vite, puis lorsqu'il est temps, s'enferment dans une sorte de cocon, on dit qu'elles deviennent des nymphes. Quelques jours plus tard, elles sortent transformée en coccinelles qui a leur tour pondront des oeufs.

  • Histoire: rappel: La maîtresse a fait une ligne du temps représentant la journée à l'école. Un aimant indique le moment de la journée auquel on est arrivé. Régulièrement, les élèves soulignent qu'il faut "avancer" l'aimant pour montrer que le moment de la journée a changé.
  •  mémoire : les 7 jours de la semaine, les 12 mois de l'année, les 4 saisons. 
  • récitation : récitation individuelle de L'AUTOMNE
    Découverte de notre nouvelle poésie: Odelette 
  • ODELETTE

    Un petit roseau m'a suffi
    Pour faire frémir l'herbe haute
    Et tout le pré
    Et les doux saules
    Et le ruisseau qui chante aussi ;
    Un petit roseau m'a suffi
    A faire chanter la forêt.

    Henri de RÉGNIER 
Comme nous le dit le poète, il lui a suffi d'un roseau pour faire chanter la forêt. La maîtresse explique que le poète a l'impression que la nature réagit à sa musique. Mais très certainement, ce qui se passe, c'est qu'en jouant de la musique, le poète découvre les bruits de la nature (le vent dans les feuilles, l'eau du ruisseau qui coule en un doux murmure). Le poète, comme Hermès découvre des choses qu'il n'avait pas vu et entendu au départ.

Cette poésie est l'occasion d'illustrer ce qu'a voulu dire le poète. En effet, une élève a ramené plusieurs flûtes: une flûte de pan, une flûte taillée dans un roseau et joliment sculptée.  La maîtresse joue une petite mélodie avec l'une et l'autre des flûtes et demande aux élèves d'imaginer les hautes herbes qui bougent sous la brise (ça fait un léger bruit de froissement), l'herbe du pré qui se laisse caresser par le vent, les saules dont les branches, elles aussi, se balancent, enfin le bruit du ruisseau qui coule. Enfin, les enfants peuvent s'imaginer toute la nature (la forêt) qui "chante" à sa manière.

  • Sport : dans la cour: Premier entraînement pour la course d'endurance.
 

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TRAVAIL en FAMILLE (MAXIMUM 10 minutes)
Pour lundi 26 septembre 2011

- lecture Delile : revoir p14 et 15
- Cuissart
:
revoir la leçon 8 "p" de piPE.